Hub grossesse en santé

Troubles anxieux

Dernière mise à jour: 20 novembre 2024

Bienvenue sur notre fiche d'information sur les troubles anxieux. Les informations ici sont basées sur des recherches récentes et peuvent changer à mesure que la science progresse. N'oubliez pas que ce contenu ne remplace pas les conseils personnalisés de votre équipe soignante.

1. Qu'est-ce que l'anxiété et comment reconnaître les symptômes ?

Pendant la grossesse, il est normal de ressentir de la peur, du stress ou des inquiétudes face aux changements en cours. Que ce soit votre première ou votre cinquième grossesse, accueillir un nouvel enfant dans la famille demande toujours des ajustements. Cependant, si ces inquiétudes deviennent trop fortes et difficile à contrôler, au point de causer de la souffrance, de la détresse psychologique ou de rendre la vie quotidienne difficile (comme dormir, travailler, manger, faire des activités), cela peut indiquer un trouble anxieux.

Les troubles anxieux peuvent inclurent des attaques de panique, des phobies sociales, des troubles anxieux généralisés ou d’autres troubles associés comme le trouble obsessionnel-compulsif (TOC).

Dans tous les cas, les symptômes anxieux peuvent apparaître ou changer durant la grossesse. Il est parfois difficile de distinguer les symptômes de grossesse de ceux de l’anxiété, car ils peuvent se ressembler. Le Tableau 1 présente quelques signes d’alerte qui pourraient indiquer un trouble anxieux. N’oubliez pas que chaque personne vit l’anxiété différemment. Il est souvent conseillé de demander une aide professionnelle si vous ressentez plusieurs symptômes qui ne disparaissent pas, que vous avez du mal à comprendre vos émotions, ou que vos proches s’inquiètent pour vous.

Tableau 1. Reconnaître les symptômes de l'anxiété pendant la grossesse à travers le corps, l'esprit et les actions.

Corps Esprit Actions

Battements de cœur plus rapides ou palpitations.

Imaginer des scénarios catastrophiques pour vous ou votre enfant à naître.

Éviter des situations, des personnes ou des lieux plus que d’habitude.

Pression ou inconfort dans la gorge ou la poitrine.

Très grandes peurs et inquiétudes sur votre santé ou celle de votre enfant.

Besoin de contrôler plus que d’habitude.

Essoufflement ou respiration accélérée.

Pensées obsessives, non désirées et dérangeantes à propos de vous ou de votre bébé.

Chercher constamment à être rassuré.

Changements dans l’appétit (plus ou moins faim).

Confusion ou brouillard mental.

Changements dans le sommeil (plus ou moins).

Sentiment de perdre le contrôle ou de paniquer.

Problèmes de digestion comme une diarrhée ou une constipation.

Irritabilité ou colère plus fréquente.

Tension, tremblements, ou douleurs musculaires.

Perte d’intérêt pour vos activités.

Certaines femmes sont plus à risque de développer de l’anxiété pendant la grossesse à cause de différents facteurs. Si vous avez un ou plusieurs de ces facteurs, vous pourriez être plus vulnérable. Par exemple, si vous, ou un membre de votre famille, avez déjà vécu de l’anxiété ou de la dépression, ou si vous avez des complications de santé pour vous ou votre bébé pendant la grossesse. D’autres sources de stress à la maison, comme un manque de soutien, une immigration récente, des problèmes financiers, l’instabilité du logement, l’usage de substances ou des violences subies peuvent aussi augmenter votre vulnérabilité.

Il peut être difficile de parler de sa santé mentale, mais il est important de demander une aide professionnelle quand vous en avez besoin. Votre équipe soignante est là pour ça.

2. Pourquoi est-il important de traiter les troubles anxieux pendant la grossesse ?

Les troubles anxieux sont fréquents pendant la grossesse. Ils touchent environ 1 femme enceinte sur 5, et jusqu’à 1 femme sur 4 dans les régions à faibles revenus ou dans des circonstances exceptionnelles comme la pandémie de COVID-19.

Les recherches récentes montrent l’importance de prendre soin de sa santé mentale pendant la grossesse pour le bien-être de la mère, de l’enfant à naître et de la famille (Tableau 2). Prenez note que ces risques varient d’une personne à l’autre et sont influencés par d’autres facteurs comme la génétique, les conditions médicales, les choix de vie et la gravité des symptômes.

Les fausses couches, les malformations congénitales, les naissances prématurées et d’autres complications peuvent survenir dans n’importe quelle grossesse pour de nombreuses raisons différentes. C’est ce qu’on appelle le risque de base. Ici, nous comparons ce risque de base avec les risques associés à la condition médicale non traitée.

Tableau 2 : Risques et défis des troubles anxieux non traités.

Pour qui ? Quoi ? Ce que la recherche dit ?
Pour la personne enceinte

Dépression

Environ 1 femme enceinte sur 2 avec de l’anxiété présente aussi des symptômes de dépression.

Dépression postpartum

Il y a un risque plus élevé de dépression après l’accouchement.

Lien avec l’enfant

L’anxiété peut rendre plus difficile la création d’un lien avec le bébé.

Pour le bébé à naitre

Naissance prématurée

Un risque plus élevé d’accouchement prématuré (avant 37 semaines), ce qui peut causer des problèmes respiratoires et d’autres problèmes de santé.

Faible poids à la naissance

Un risque plus élevé de faible poids à la naissance (moins de 5 livres et 8 onces ou 2 500 g) ce qui peut parfois mener à une hospitalisation.

Pour le futur enfant/ adulte

Développement de l’enfant

Un possible retard de croissance physique et du développement moteur.

Plus de recherches sont nécessaires pour confirmer ce risque.

Comportement de l’enfant

Le stress élevé et chronique chez la mère pourrait affecter le développement du cerveau de l’enfant, causant des difficultés émotionnelles, de concentration ou de mémoire.

Plus de recherches sont nécessaires pour confirmer ce risque.

Pour la famille

Recherches en cours

Des études se poursuivent pour comprendre l’impact de l’anxiété maternelle sur l’ensemble de la famille et comment les membres peuvent jouer un rôle clé pour augmenter ou réduire les symptômes.

Il n’y a pas assez d’études pour savoir s’il existe un lien entre les troubles anxieux et une augmentation du risque de fausse couche, de mortinaissance tooltip  ou d’infertilité. Il est aussi peu probable que l’anxiété augmente le risque de malformations congénitales tooltip  comparé au risque de base (3 grossesses sur 100 chez les femmes en bonne santé). Cependant, mesurer l’anxiété est parfois compliqué, et il peut être difficile de déterminer si les effets sur la grossesse sont liés à l’anxiété ou à d’autres facteurs.

3. Est-ce que je vais pouvoir allaiter ?

Allaiter peut être une belle façon de créer un lien avec votre bébé et beaucoup de femmes s’inquiètent que l’anxiété puisse rendre cela plus difficile. La bonne nouvelle est que la plupart des femmes avec des troubles anxieux peuvent allaiter si elles le souhaitent. Quand l’allaitement est en place et n’ajoute pas un stress supplémentaire, il peut même aider à réduire l’anxiété grâce à l’ocytocine, une hormone apaisante libérée pendant l’allaitement. Petit plus, cette hormone contribue, en combinaison avec plusieurs autres facteurs, à renforcer le lien entre vous et votre bébé.

Cependant, les troubles anxieux peuvent parfois rendre l’allaitement plus difficile. Il est important de savoir que vous n’êtes pas seule, et que du soutien est disponible, que vous choisissiez de continuer ou non. Si l’anxiété affecte votre expérience d’allaitement, consultez une professionnelle ou un professionnel de la santé ou une consultante en lactation peut faire une grande différence pour vous aider.

4. Que puis-je faire pour réduire mon anxiété avant de prendre des médicaments ?

Que vous planifiez une grossesse ou que vous soyez déjà enceinte, prendre soin de votre santé mentale est aussi important que préparer l’accouchement. Créer un « plan de santé mentale » avec votre partenaire ou une personne de confiance peut vous aider à reconnaître vos premiers signes d’anxiété et à gérer ces moments de stress.

Adopter des habitudes saines au quotidien peut aider à réduire l’anxiété. Manger équilibré, faire de l’exercice léger à modéré, et prendre du temps pour des activités dites « de pleine conscience » — comme le yoga prénatal, la méditation, marcher ou écouter de la musique relaxante — peut vous aider à vous sentir mieux. Si vous n’avez pas l’habitude de faire de l’exercice, commencez doucement et augmentez petit à petit. Ces petits efforts réguliers peuvent vraiment faire une différence.

La thérapie est une autre façon de gérer l’anxiété sans médicaments. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est un exemple qui aide environ 6 femmes enceintes sur 10 à se sentir mieux. Les thérapies, qu’il s’agisse de TCC ou d’autres types, peuvent être ajustées à vos besoins pour vous aider à mieux vous sentir mentalement et émotionnellement pendant la grossesse. Ces traitements sans médicaments sont efficaces et ne posent aucun risque pour le bébé, ce qui les rend souvent recommandés pour beaucoup de femmes.

Il est facile d’oublier de prendre soin de soi pendant la grossesse, mais rappelez-vous que votre santé mentale est aussi importante que celle de votre bébé. Prendre le temps de s’occuper de soi est l’une des meilleures choses que vous puissiez faire pour vous et votre enfant.

5. Les médicaments pour traiter l'anxiété

Les traitements pharmacologiques tooltip, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), sont efficaces et souvent nécessaires pour les formes plus sévères d’anxiété. Cependant, ils peuvent comporter des risques qu’il faut considérer avant de les utiliser.

Il existe plusieurs médicaments au Canada pour traiter l’anxiété pendant la grossesse et/ou l’allaitement. En général, les recherches montrent qu’ils n’augmentent pas beaucoup le risque de malformations chez le bébé ou de problèmes à long terme. Pour plus de détails, consultez les fiches informatives sur ces médicaments.

Il y a plusieurs types de médicaments utilisés pour traiter l’anxiété, mais les plus fréquents sont appelés les antidépresseurs. Ces médicaments augmentent la quantité de neurotransmetteurs tooltip disponibles pour la communication entre les neurones tooltip, ce qui aide à diminuer, entres autres, les symptômes d’anxiété. La première classe agit sur le neurotransmetteur sérotonine : ce sont les ISRS. La deuxième classe augmente la quantité de deux neurotransmetteurs, la sérotonine et la noradrénaline : ce sont les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN).

Tableau 3. Quelques médicaments prescrits pour traiter les troubles anxieux.

Types de médicaments Noms du médicaments Noms commerciaux

Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)

citalopram

ex. Celexa®

escitalopram

ex. Cipralex®

fluoxétine

ex. Prozac®

fluvoxamine

ex. Luvox®

paroxétine

ex. Paxil®

sertraline

ex. Zoloft®

Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN)

duloxétine

ex. Cymbalta®

venlafaxine

ex. Effexor®

Parfois, selon vos symptômes, vos préférences, votre dossier médical et les autres médicaments que vous prenez, votre professionnelle ou professionnel de la santé pourrait vous prescrire d’autres médicaments comme des benzodiazépines pour traiter votre anxiété.

Comment savoir ce que je devrais faire?

Le choix entre des options sans médicaments ou avec des médicaments dépend souvent de la gravité de votre anxiété, de vos préférences, et de vos autres problèmes de santé. Parfois, une combinaison des deux peut être la meilleure solution, surtout si l’anxiété est plus sévère.

Chaque médicament a ses avantages et inconvénients, et votre équipe soignante est la mieux placée pour vous aider à prendre une décision éclairée, adaptée à vos besoins spécifiques.

Beaucoup de personnes pensent à changer ou arrêter leur médicament contre l’anxiété lorsqu’elles planifient une grossesse ou découvrent qu’elles sont enceintes. Il est important de ne pas faire ces changements par soi-même. Arrêter un antidépresseur d’un coup peut causer des symptômes de sevrage, la réapparition de l’anxiété, ou même aggraver vos symptômes.

Discutez toujours avec votre équipe soignante (ex. pharmacien, infirmière, médecin) avant de changer votre façon de prendre vos médicaments.

L’automédication, comme prendre des médicaments prescrits à quelqu’un d’autre ou consommer du cannabis pour réduire l’anxiété, est déconseillée pendant la grossesse.

Points-clés

  • Prioriser la santé mentale de la mère est important pour le bien-être du bébé.
  • Ressentir de l’anxiété pendant la grossesse est normal, mais il est important de demander de l’aide si les symptômes dérangent votre vie quotidienne ou que vous avez du mal à vous reconnaître.
  • Ne pas traiter les troubles anxieux pendant la grossesse augmente le risque de dépression postpartum, de naissance prématurée et de troubles cognitifs chez l’enfant.
  • Adopter de bonnes habitudes de vie, faire de l’exercice, pratiquer des activités pleine conscience, recevoir du soutien et suivre des thérapies comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) peuvent aider à réduire l’anxiété.
  • Certains médicaments pour traiter l’anxiété, comme les ISRS ou les IRSN, ont des avantages et des inconvénients pendant la grossesse.
  • Votre équipe soignante pourra vous aider à trouver la meilleure option pour vous en considérant les avantages de la médication comparés à ne pas traiter votre condition médicale.

La recherche est importante, mais elle n'est pas parfaite

Prendre des décisions de santé éclairées, c’est aussi comprendre l’état actuel des connaissances scientifiques. Voici un aperçu des conclusions de notre comité d’experts sur la quantité et la qualité des études menées jusqu’à présent sur les troubles anxieux pendant la grossesse :

  • Petites études : Beaucoup d’études ont été faites avec peu de participantes, donc les résultats ne s’appliquent pas toujours à tout le monde.
  • Différents types d’anxiété : Il existe plusieurs types d’anxiété, comme l’inquiétude générale, les crises de panique ou l’anxiété sociale. Ces formes sont différentes et donc difficiles à étudier ensemble.
  • Outils différents : Les chercheurs utilisent des méthodes différentes pour mesurer l’anxiété, ce qui peut amener des résultats contradictoires.
  • Changements de la grossesse : La grossesse apporte beaucoup de changements physiques, émotionnels et hormonaux. Ces changements peuvent rendre difficile de savoir si c’est l’anxiété seule ou la grossesse qui cause certains effets.
  • Pas assez de données à long terme : Peu d’études suivent les femmes avant, pendant et après la grossesse. Cela veut dire qu’on ne sait pas encore tout sur les effets de l’anxiété sur la santé à long terme de la mère et du bébé.
  • Facteurs oubliés : Des facteurs comme la culture, le revenu et l’environnement peuvent affecter l’anxiété, mais elles ne sont pas toujours prises en compte dans les études.
  • Accent mis sur la dépression : La plupart des recherches portent sur la dépression et non l’anxiété. Il y a donc moins d’informations et d’aide spécifiques pour l’anxiété.

Comprendre ces limites aide à expliquer pourquoi il est nécessaire de faire plus de recherches pour mieux soutenir les femmes enceintes qui vivent avec l’anxiété et pourquoi la recherche n’a pas toutes les réponses.

Références

  1. « Anxiety Fact Sheets. » MotherToBaby, 2023, https://mothertobaby.org/fact-sheets/anxiety-fact/. Accessed 9 Aug. 2024.
  2. Clinkscales, Natalie, et al. « The effectiveness of psychological interventions for anxiety in the perinatal period: A systematic review and meta‐ » Psychology and Psychotherapy: Theory, Research and Practice 96.2 (2023): 296-327.
  3. Dennis, Cindy-Lee, et al. « Cohort profile: Impact of Maternal and Paternal Mental Health–Assessing Concurrent Depression, Anxiety and Comorbidity in the Canadian Family (IMPACT study). » BMJ open 13.3 (2023): e071691.
  4. Hofmann, Stefan G., et al. « The efficacy of cognitive behavioral therapy: A review of meta-analyses. » Cognitive therapy and research 36 (2012): 427-440.
  5. Jeličić, Ljiljana, et al. « Maternal distress during pregnancy and the postpartum period: underlying mechanisms and child’s developmental outcomes—a narrative review. » International Journal of Molecular Sciences 23.22 (2022): 13932.
  6. Misri, Shaila, and Elena Swift. « Generalized anxiety disorder and major depressive disorder in pregnant and postpartum women: maternal quality of life and treatment outcomes. » Journal of Obstetrics and Gynaecology Canada 37.9 (2015): 798-803.
  7. Misri, Shaila, et al. « Perinatal generalized anxiety disorder: assessment and treatment. » Journal of women’s health 24.9 (2015): 762-770.
  8. Nielsen-Scott, Maria, et al. « Prevalence of perinatal anxiety in low-and middle-income countries: A systematic review and meta-analysis. » Journal of affective disorders 306 (2022): 71-79.
  9. Pull, Charles-Bernard, et al. DSM-5 – Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux. Philadelphia: Elsevier – Health Sciences Division, 2015. Accessed 17 July 2024. ProQuest Ebook Central.
  10. Stuebe, Alison M., Karen Grewen, and Samantha Meltzer-Brody. « Association between maternal mood and oxytocin response to breastfeeding. » Journal of women’s health 22.4 (2013): 352-361.
  11. Tucker, Z., and C. O’Malley. « Mental health benefits of breastfeeding: a literature review. Cureus 14 (9): e29199. » (2022).
  12. Traylor, Claire S., et al. « Effects of psychological stress on adverse pregnancy outcomes and nonpharmacologic approaches for reduction: an expert review. » American Journal of Obstetrics & Gynecology MFM 2.4 (2020): 100229.
  13. Yuen, Megan, et al. « The effects of breastfeeding on maternal mental health: a systematic review. » Journal of women’s health 31.6 (2022): 787-807.
URL copiée!

Clause de non-responsabilité

Le HUB GROSSESSE en SANTÉ met à disposition une source d’informations validées par des professionnels de la santé, néanmoins, ces informations sont fournies à titre informatif et ne doivent pas se substituer à l’avis professionnel.  En effet, les normes et pratiques en médecine évoluent à mesure que de nouvelles données deviennent disponibles, et il est donc impératif de consulter votre médecin ou un professionnel de la santé qualifié pour toute question ou préoccupation concernant votre santé, sans délai ni omission.  Il incombe à votre médecin traitant ou à tout autre professionnel de la santé, en se fondant sur son expérience indépendante et sa connaissance du patient, de déterminer la meilleure manière de vous évaluer et de vous traiter.

Le HUB GROSSESSE en SANTÉ ne recommande ni n’approuve spécifiquement aucun test, praticien, traitement, produit ou opinion mentionnés sur notre plateforme.  Le Hub GROSSESSE en SANTÉ ne remplace pas non plus l’évaluation individuelle du patient basée sur l’examen du prestataire de soins de santé de chaque patient et la prise en compte des données de laboratoire et d’autres facteurs propres au patient.

L’utilisation des informations disponibles sur notre site se fait sous votre propre responsabilité. Aucune personne ayant participé à la création, à la production, à la promotion ou à la commercialisation du HUB GROSSESSE en SANTÉ ne garantisse ni ne représente, expressément ou implicitement, quoi que ce soit concernant les informations disponibles sur la plateforme qui sont fournies « tel quel ». Toutes les garanties sont expressément exclues et rejetées, y compris, mais sans s’y limiter, les garanties implicites de qualité marchande ou d’aptitude à un usage particulier, ainsi que toutes les garanties découlant de la loi ou d’une autre source en droit ou du commerce ou de l’usage commercial. Toutes déclarations ou représentations faites par toute autre personne ou entité sont nulles.

Bien que la consultation des symptômes ou autres informations médicales sur notre plateforme puisse orienter vos échanges avec votre professionnel de la santé, ces informations ne doivent en aucun cas être utilisées pour poser un diagnostic médical ou déterminer un traitement. Avant d’apporter des modifications à votre régime de compléments alimentaires ou de médicaments, veuillez discuter avec votre équipe médicale ou contacter le 811 (Canada) pour garantir la pertinence de ces changements pour votre situation individuelle.

Crédits
Émy Roberge
Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine
Catherine Lord
Immerscience Inc.
Anick Bérard
Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine
Jessica Gorgui
University of Montreal
Brandace Winquist
Université de la Saskatchewan
Isabelle Malhamé
Research Institute of the McGill University Health Centre
Modupe Tunde-Byass
University of Toronto
Brigitte Martin
Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine

Fiches informatives associées

Vous souhaitez en savoir plus sur la santé mentale et les médicaments associés ? Explorez nos fiches informatives associées.

Ressources associées

Vous souhaitez en savoir plus sur la santé mentale ? Explorez notre collection de vidéos et d’infographies sur le sujet.

Partenaires

Your pregnancy during COVID-19
uOttawa
University of Calgary
University of British Columbia
University of Toronto
University of Saskatchewan
University of Manitoba
University of Alberta
Unity Health
Unité de soutien SSA
UDEM
Stratos
SOGC
SickKids
RQRM
QTNPR
QPC
PWHR
Public Health Agency of Canada
PregMed France
SPOR
MPrint
Mitacs
Médicaments Grossesse
McGill
Médicament Québec
FRQ
Perinatal Network
CIHR
IQVIA
iPOP
Institut national de santé publique du Québec
INRS
Innovative Medicines Canada
IN-uTERO
Immerscience
Groww
Enrich
Design Develop Discover
Dalla Lana
CUSM
CIHR
CHU Sainte-Justine
Centre of Excellence on Partnership with Patients and the Public
CAN-AIM
Canadian Pharmacogenomics Network for Drug Safetry
CAMCCO
CAMCCO-L
C4T
BORN Ontario
Black Physicians of Canada
BC Children's Hospital
Association of Faculties of Pharmacy of Canada
Alberta Health Services
MICYRN
UQAT
Dalhousie University